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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 11:44

Auteur :Dr. Louis de Brouwer m.d.

QUI EST Louis de BROUWER ?

* Docteur en médecine, spécialiste en biologie moléculaire et en homéopathie. * Titulaire d’un certificat international en écologie humaine. * Vice-président de la LIMAV (Ligue internationale « médecins pour l’abolition de la vivisection »), ligue fondée en Suisse et groupant plus de 1600 médecins dans plus de 66 pays du monde.

* Fondateur de l’ADEPAM (Association de défense envers la pollution alimentaire et médicamenteuse) qui regroupe plus de 3700 adhérents en France.

* Membre du Comité directeur de la Société internationale des médecins pour l’environnement - Suisse - regroupant plus de 45 000 médecins au niveau international, dans 102 nations.

* International lecturer (conférencier international), il a participé à des conférences dans toute l’Europe.

* Délégué de l’ISDE auprès de l’UNESCO. * Nommé le 6 novembre 1991 « International Special Consultant for Health and Ecology AIEWP-ONU-UNESCO - Chargé de recherches ». À ce titre, il a accompli différentes missions à l’étranger concernant des problèmes de santé et d’écologie.

THESES :

* Faculté de médecine - Université René Descartes - Paris V - juin 1991 .. "Stress et cancers "

* Faculté de médecine - Université René Descartes - Paris V - juin 1990 .. "Médecins et société - Rapports médecins industrie chimique et pharmaceutique - conséquences sanitaires "

* Académie des sciences des USA - Washington - 1980 .. "Cancer, fatalité génétique"

TABLE DES MATIÈRES

Chapitre 1 : La mirifique découverte du principe de la vaccination...21 Chapitre 2 : L’origine des vaccinations...33 Chapitre 3 : Les précurseurs de Pasteur...47 Chapitre 4 : Pasteur : son œuvre, ses prétendus travaux et découvertes... 73 Chapitre 5 : Études expérimentales du professeur Antoine Béchamp...83 Chapitre 6 : Les adeptes de la théorie vaccinale : de Jenner et Pasteur à la "mafia" vaccinaliste..111 Chapitre 7 : Les responsables d’une génération génétiquement fragilisée...131

Les fabriquant de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l’histoire de l’humanité : faire croire à l’efficacité et à l’innocuité de ce principe inventé par Jenner et repris à son compte par Pasteur, alors qu’il ne repose sur aucune base scientifique sérieuse.

On sait aujourd’hui, 100 ans après son décès, que Pasteur fut un génie de la tricherie, du plagiat. du trucage des statistiques, du traffic d’influence, de la publicité bien orchestrée et que, assoiffé d’honneurs et d’argent, ses différentes expérimentations vaccinales étaient truquées, selon l’aveu même de ses collaborateurs.arton1304.jpg

 

Vaccination : erreur médicale du siècle

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 1

Les fabricants de vaccins sont touchés de plein fouet. Se référant au livre d’Allen [David J.] et à sa mort plutôt suspecte, de moins en moins de gens se font vacciner. Le doute s’est installé dans les esprits. Qu’à cela ne tienne, les industriels incriminés ne perdent pas pied. Ils continuent à prôner le vaccin et fabriquent en même temps toutes sortes de médicaments destinés à soigner les affections occurrentes spécifiques de la maladie du sida. Un véritable pactole ! La suite, nous la connaissons... Les experts désignés par l’instance judiciaire internationale avaient déclaré dans leur rapport :

« Les fabricants de vaccins jouent sur du velours. En effet, il est impossible de démontrer d’une manière scientifique l’efficacité des vaccins. La seule chose qu’on puisse comptabiliser est le nombre de sujets vaccinés, sans savoir s’ils ont été réellement immunisés puisqu’ils ne sont pas suivis par le corps médical. D’autre part, étant donné le nombre considérable de sujets vaccinés, de 90% à 99%, si les vaccins étaient efficaces, il ne devrait plus y avoir depuis longtemps aucune maladie infectieuse sur la planète. Or, depuis quelques années, des épidémies et pandémies qu’on croyait éradiquées sont réapparues en force. Le principe vaccinal, dès sa découverte par Jenner, fut sujet à caution. Nous avons inventorié des documents qui démontrent que les recherches réalisées par lui ont été faites selon des critères scientifiques inacceptables, c’est-à-dire sans un contrôle suffisant des expériences. Ceux qui ont accepté et suivi ce principe, par manque d’information ou esprit de lucre [profit], ont commis une très lourde erreur dont nous payons actuellement les conséquences.

« En particulier, le Français Pasteur, par la généralisation des vaccinations pour lutter contre d’autres affections que la variole, peut être considéré comme le père fondateur de la plus grande entreprise criminelle de tous les temps. Son expérience de vaccination contre la rage peut être considérée comme une supercherie ayant fait long feu. Les successeurs de Pasteur et l’Institut Pasteur doivent être considérés comme les responsables de la situation sanitaire mondiale actuelle. Toutes les statistiques internationales consultées font montre de diverses falsifications. Parce qu’ils ont prôné les vaccinations par intérêt ou par ignorance des phénomènes biologiques spécifiques du principe vaccinal, les gouvernements et le corps médical dans son ensemble sont aussi condamnables. Également, il s’avère que le corps médical et l’Organisation mondiale de la santé n’ont jamais eu la possibilité de suivre les personnes vaccinées, sauf dans les cas d’accidents. C’est pourquoi, on peut les accuser d’avoir propagé les vaccins sans posséder la certitude d’une réelle efficacité. Enfin, le principe des vaccinations obligatoires n’aurait jamais du être accepté par les gouvernements et l’ensemble des populations, du fait qu’il est contraire aux principes élémentaires des droits de l’homme. Il s’agit là d’une atteinte à la liberté individuelle. »

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 2

Un groupe de scientifiques de haut niveau prend le relais du docteur Allen et démontre que la mise sur le marché du vaccin X constitue une supercherie et qu’en réalité, ce sont bien les vaccinations qui sont à l’origine du sida. Ils exposent que par recombinaison génétique, l’introduction de virus vivants dans un organisme peut réveiller un virus endormi, et que c’est ce qui s’est passé. Le sida est donc une maladie provoquée par les vaccinations. Telle est la conclusion des experts, conclusion qui rejoint la déclaration de Robert Gallo au London Times, du 11 mai 1987 :

« La relation entre le programme de vaccination de l’OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers Monde et l’épidémie de sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela s’est réellement passé, mais durant des années, j’ai toujours dit que l’usage de vaccins de virus vivants (comme l’on pratique en Afrique) peut activer un virus endormi comme celui du sida. »

Évidemment, ce groupe d’experts omet de dire qu’en 1993, le docteur De Brouwer avait écrit un ouvrage, Sida, le vertige, dans lequel il tentait de démontrer de manière scientifique que le virus du sida était le résultat d’une recombinaison génétique entre le HTLV 2 et le virus de la vaccine. Pourquoi le professeur Robert Gallo, qui trouvait cette hypothèse intéressante, n’a-t-il pas orienté ses recherches dans ce sens ? On peut se poser de nombreuses questions à ce propos.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 3

LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE

Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l’état latent ou défectif, c’est-à-dire en ne s’exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d’un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l’organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s’était établi un état d’équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l’Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c’est-à-dire léthaux [meurtriers ; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo dans un organisme vivant. Toutefois, point n’est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.

L’expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l’homme. On savait que l’infection d’un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n’avait jamais démontré in vivo que l’inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étasunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l’injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d’entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d’herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].

[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu’on inocule aux enfants et aux adultes ???]

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 144 à 145Extrait 4

La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d’un virus d’une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c’est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais létale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l’organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l’on veut qu’il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d’homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver : il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c’est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l’organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente : depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l’est certainement pas.

Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C’est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l’intestin et qui contribue ainsi à contaminer l’entourage. Une étude menée par l’OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu’aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l’homme. Ce qui expliquerait l’explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l’homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 5

LES VACCINATIONS, FACTEURS DE DÉGÉNÉRESCENCE DE L’ESPÈCE HUMAINE

( ... )

Par contre, une chose est certaine, admise par l’ensemble des biologistes, c’est qu’un organisme qui, au cours de l’évolution, est parvenu à s’adapter à l’environnement dans lequel il s’est trouvé placé, donne naissance à d’autres organismes parfaitement sains si les géniteurs étaient eux-mêmes sains du fait que leur système immunitaire était performant. Au contraire, si les géniteurs ne possédaient pas un système immunitaire ad hoc et que quelques virus, rétrovirus ou autres bactéries aient déjoué les défenses de leur organisme pour y pénétrer et s’y installer tout en demeurant muets, défectifs, il apparaît évident que les intrus seront transmis aux descendants. Cest ainsi que, pratiquement, tous les Occidentaux possèdent dans leur organisme 5 ou 6 variétés de virus Herpès, et que nombre d’habitants d’Afrique centrale abritent dans leurs cellules le HTLV 2, découvert par Robert Gallo et son équipe. On ne parle que rarement de cette découverte capitale, éclipsée par celle du rétrovirus du sida.

Il faut qu’interviennent certaines circonstances particulières pour que ces virus herpétiques se manifestent, sortent de leur sommeil. De même pour le HTLV 2. Ces virus et rétrovirus ont été mis en évidence, mais il est certain que l’organisme humain abrite d’autres formes de virus et rétrovirus qui, pour le moment, n’ont pas été découverts. Il en est de même pour différentes espèces animales devenues de véritables réservoirs à virus, notamment les singes verts d’Afrique. Mais ces virus et rétrovirus demeurent muets, la plupart du temps. Le système immunitaire a fonctionné et, s’il n’a pas réussi à les éliminer, il leur a fait perdre leur virulence par restriction de leur propre capital génétique. Cela ne s’est certainement pas passé sans problème majeurs pour les organismes atteints, mais quoi qu’il en soit, on peut affirmer que les intrus en question ne se manifestent qu’en de rares occasions.

Par conséquent, on peut affirmer que des géniteurs sains, même s’ils sont porteurs de virus et rétrovirus défectifs, donnent naissance à des descendants sains, qui seront également porteurs de ces mêmes intrus, lesquels demeureront, en principe, muets, comme chez les ascendants. Les decendants de ces géniteurs sains, au contact d’un environnement qui s’est peu modifié depuis des millénaires, se trouveront aux prises avec divers virus et bactéries pathogènes qui risqueront de provoquer les maladies bien connues de l’enfance, la rougeole, la rubérole, les oreillons, etc. et avec d’autres beaucoup plus dangereux susceptibles de provoquer des affections gravissimes telles que la variole, la peste, le choléra, etc., si certaines conditions élémentaires d’hygiène et de nutrition ne se trouvent pas réalisées. De la sorte apparaît l’importance de l’environnement dans la genèse de nombre de maladies infectieuses. Si l’humanité toute entière vivait dans des conditions exceptionnelles d’hygiène et de nutrition, il n’y aurait jamais d’épidémies et de pandémies provoquées par l’intrusion de facteurs infectieux.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 6

C’est l’affaiblissement du système immunitaire des organismes qui provoque l’intrusion de ces agens infectieux ou, dans certains cas, qui génère ou régénère ses propres agents infectieux demeurés jusque-là muets parce que vivant en symbiose avec la machinerie cellulaire résultant de l’évolution. En conséquence, il semble évident que dans les pays développés où les conditions de nutrition et d’hygiène sont normales, point n’est besoin de prévenir par la vaccination des maladies qui n’apparaîtront jamais, puisque les facteurs générateurs de ces maladies ont pratiquement disparu. C’est ainsi que le principe des vaccinations apparaît comme une véritable supercherie et escroquerie à la santé. Les enfants en bas âge possèdent déjà à la naissance les anticorps transmis par leur mère. Plus tard, si leur organisme est confronté à des maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc., il provoquera lui-même par cette confrontation sa propre immunité future. Ce ne sont pas des maladies graves. Il est facile de les soigner par des méthodes naturelles.

Si des affections gravissimes voient le jour, il y a lieu alors d’incriminer des facteurs d’environnement particulièrement néfastes, auxquels peut s’ajouter une modification du terrain chez l’individu atteint, elle-même due à une transmission héréditaire ou au non-respect de véritables conditions de vie d’hygiène et de nutrition. Suivant le cas, nous serons en présence de maladies telles que la tuberculose, la poliomyélite, le choléra, la peste, la sclérose en plaques, etc. et, pourquoi pas, le sida. Or, que voyons-nous ? Plus les pays sont hautement industrialisés, plus le principe des vaccinations (pourtant inutiles) est appliqué, prôné par les gouvernements. Et plus les pays du Tiers Monde sont fragilisés parce que les populations y souffrent de malnutrition et que leur système immunitaire y est mis à rude épreuve par nombre de vecteurs pathogènes, plus l’Organisation mondiale de la santé réalise des campagnes de vaccination sans faire aucune distinction quant à l’état immunitaire des individus. C’est de l’aberration mentale.

Il est reconnu aujourd’hui par la plupart des scientifiques compétents et honnêtes qu’il s’avère extrêmement dangereux de vacciner (introduire des virus vivants ou atténués) dans l’organisme d’individus fragilisés immunitairement. Cette fragilité immunitaire est due au fait que les organismes des populations considérées se trouvent fréquemment confrontés à de nombreux facteurs pathogènes spécifiques du lieu où elles vivent et que leur système immunitaire trop sollicité n’a plus la capacité de réagir vigoureusement à des facteurs pathogènes étrangers introduits, par exemple, par la vaccination. La vaccine, en particulier, il ne faut pas l’oublier, sert de vecteur dans certains vaccins et son introduction dans un organisme débilité peut évidemment conduire à des complications désastreuses du fait que le virus peut se propager de manière pratiquement illimitée.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 7

Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894. Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d’hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L’épidémie s’est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d’hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s’étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.

On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d’hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d’hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n’est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des campagne de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l’argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d’assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d’années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 8

Les foyers permanents sont connus par l’Organisation mondiale de la santé. Les campagnes de vaccination qu’elle a réalisées en Afrique contre la variole dépassent l’entendement. Depuis,1958, année où l’on avait enregistré 278 000 cas dans le monde, et non pas seulement en Afrique, jusqu’au 26 octobre 1979, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé annonçait officiellement l’éradication complète de la variole, plus de 120 millions d’Africains avaient été vaccinés. En 1963, on ne dénombrait plus que 80 000 cas dans le monde, avec seulement de 30% à 40% de mortalité chez les enfants non vaccinés. Pour l’OMS, la vaccination n’est efficace que si plus de 80% de tous les groupes de population sont vaccinés, y compris les nomades. C’est ainsi qu’en 1973, on pouvait estimer que plus de 100 millions de vaccinations avaient été effectuées en Afrique centrale et occidentale ! En 1980, l’évaluation peut être portée à 180 millions de vaccinés. Or, c’est alors qu’il n’y avait que 80 000 cas signalés dans le monde en 1963, que les campagnes antivariolique furent les plus intensives. En outre, ce ne fut pas la seule vaccination pratiquée dans ces pays africains ; on y ajouta celles contre la tuberculose, la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, etc., avec des pourcentages de vaccinés de l’ordre de 70% à 100%.

Pour ses partisans et ses profiteurs, la vaccination est devenue un acte de dictature médicale et économique posé à l’encontre des plus faibles et des plus fragilisés par des conditions de vie misérables, et des moins évolués dans la compréhension des actes thérapeutique. On porrait qualifier l’acte vaccinal accompli sur ces populations peu évoluées d’acte terroriste et criminel relevant à la limite d’une volonté de génocide. Si cette intention de génocide n’est pas réelle, il s’agit là en tout cas pour les vaccinalistes d’un cas de conscience posé par les conséquences catastrophiques de semblables vaccinations à moyen et long terme. Ceux qui n’ignorent pas ces conséquences pratiquent un acte criminel, [et] ceci [pour] des raisons de profits. L’autre face de la dictature exercée par les fabricants de vaccins et les vaccinalistes confirme ce qui apparaît sur la première lorsqu"ils infligent la vaccination à des populations appartenant à des pays en voie de développement ou non. En effet, sur la seconde face, on retrouvent les mêmes procédés dictatoriaux mais modifiés parce que confortés par des lois qu’ils ont fait voter par les gouvernements, rendant certaines vaccinations obligatoires. Le régime dictatorial n’est que plus hypocrite, se retranchant derrière ces lois au sein de régimes dits démocratiques.

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 139Extrait 9

Force est donc de constater que nous nous trouvons face à la situation paradoxale et aberrante suivante : tout le monde, gouvernements, organisations sociales et humanitaires, Organisation mondiale de la santé, compagnies d’assurances, corps médicale et citoyens (par manque d’information en ce qui concerne la manipulation dont ils sont les victimes) participent activement à une dégénérescence de l’espèce qui a commencé à se produire et qui se poursuivra à un rythme accéléré dans les prochaines décennies ! Le système des vaccinations n’est, ni plus ni moins, qu’une « bombe à retardement » amorcée et réglée par l’humanité elle-même sur les indications des principaux responsables de la santé et des fabricants de vaccins, disciples de Pasteur. Ceux qui prétendent être les bienfaiteurs de l’humanité, accomplissent en réalité, par ignorance ou par intérêt, un génocide programmé dans précédent dans l’histoire de l’humanité. En ce sens, Pasteur et tous ceux qui se sont inspirés de sa méthode afin de faire du profit peuvent être considérés comme des criminels.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 146Extrait 10 : En 1903, la vaccination antivariolique est rendue obligatoire en France, au moment même où la maladie est en pleine phase de décroissance.

... Malgré de multiples accidents qui démontrent que la vaccination contre la variole est non seulement inutile mais dangereuse, provoquant plus de cas de variole chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (voir dans la première partie de cet ouvrage, les paragraphes consacrés à Jenner), on continue à vacciner jusqu’en 1977, soit durant 74 ans !

Sir Russel Wallace, le naturaliste qui, parallèlement à Darwin, fonda la théorie de l’évolution par la sélection naturelle, s’opposa toujours à la pratique des vaccinations.

page 147Extrait 11 : Le 26 octobre 1979, l’Organisation mondiale de la santé, après d’intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d’Asie et 5 fois, d’Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d’hygiène et de malnutrition. Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l’Europe ? Cette maladie n’a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l’Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d’hygiène dans les pays industrialisés...

page 148, 149Extrait 12 : ... C’est dans les 11 pays d’Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu’on compte présentement le plus de sidéens. [! !!]

Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l’origine du sida, j’expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d’Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle : non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l’origine du sida.

... Le professeur J. Tissot écrivait à ce sujet :

« Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination à peu près totale des habitants de la ville de Leicester (Angleterre), l’épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu’on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures prophylactiques. L’épidémie de variole de 1918-1919 aux Philippines, dont la nation est depuis 1905 une des plus complètement vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole a atteint 65, 3% à Manille, ville la plus fortement vaccinée du pays, alors qu’elle n’était que de 10% avant 1905. Les mêmes faits ont été constatés en Allemagne et au Japon. Ce sont là des preuves formelles qui établissent que la vaccination jennérienne ne protège pas contre la variole et qu’elle accroît même fortement la mortalité. »

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 150, 151Extrait 13 : ... quelques opinions scientifiques à ce sujet :

- Les professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski, de l’Académie des Sceiences de Cracovie (Pologne), in « The Lancet » du 6 mai 1967 :

« Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l’apparition d’un cadre leucémique. Chez 5 enfants et 2 adultes observés dans les cliniques de Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et générales et par la leucémie. »

- Le docteur B Duperrat, de l’Hôpital Saint-Louis, dans " La Presse Médicale " du 12 mars 1955 :

« La vaccination provoque, en outre, une explosion de leucémie. »

- Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968 :

« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s’il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d’accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »

- Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966 :

« En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n’est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu’en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »

- Le Directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans "Le Monde" du 23 mai 1987 :

« Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin antipolio oral ou le vaccin contre la rougeole. »

- Robert R. Redfield et Al Walter Reed, de l’"Army Institute of Research du Department of Virus Diseases" dans la revue "The New England Journal of Medecine", vol. 316, n° 11, 12 mars 1987 :

« Ce cas montre que la primo-vaccination antivariolique des personnes porteuses du virus du sida pose le risque que le vaccin déclenche la maladie et que les vaccinations multiples puissent accélérer le développement du sida. De plus, ce cas soulève des questions préoccupantes quant à la sécurité ultime des vaccins clonés sur virus vaccinia dans les pays en voie de développement dans lesquels le sida se propage de plus en plus. »

- La même revue relate le cas d’un militaire américain vacciné au moment de son incorporation contre différentes maladies, dont la variole, lequel a développé une vaccine généralisée, puis le sida, dont il est décédé très rapidement. Avant d’être incorporé, ce militaire avait subi un examen de santé complet comprenant une formulation sanguine qui faisait apparaître 6 200 globules blancs avec 24% de lymphocytes ; tous les autres résultats étaient également normaux.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 157 Extrait 14 :

Une preuve évidente de l’inutilité et de la dangerosité du BCG est que l’Organisation mondiale de la santé, sans doute préoccupée par cette question d’efficacité, organisa une expérience à grande échelle aux Indes entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et négatives, furent divisées en 2 groupes : l’un fut vacciné ; l’autre non. Ellles furent suivies dans des conditions rigoureuses durant 7 ans et ½. Le résultat a été le suivant : il y a eu autant de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Autrement dit et suivant le rapport même de l’OMS (Groupe scientifique ICMR/OMS, n° 651, Genève, 1980) :

« Le BCG ne conférait aucune protection au cours de 7 ans et ½ de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets qui avaient initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n’avaient présenté aucune réaction. »

SANS COMMENTAIRE !

La République fédérale d’Allemagne n’avait pas attendu ce rapport et, dès 1973, avait suspendu la pratique de la vaccination par le BCG. En France, depuis de nombreuses années, certains professeurs de médecine réclament l’abandon de la vaccination, ainsi le professeur J. Chrétien, pneumo-phtisiologue à l’hôpital Laennec, à Paris et le professeur J. P. Derenne, service de pneumologie de l’hôpital Saint-Antoine, aussi à Paris, qui se sont exprimés en maintes occasions dans des revues médicales comme "Le Concours Médical". Après la guerre de 40-45, ravagés et ayant souffert de conditions de vie précaires, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais, la vaccination par le BCG n’y fut pratiquée et, cependant, la tuberculose fut éradiquée. Depuis de nombreuses années, ce pays présente le taux le plus bas des pays d’Europe pour la mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire. Dans son bulletin statistique (n° 1, 1974), le ministère de la Santé publique et la Sécurité sociale constate que là où la vaccination est obligatoire, dans les pays comme la Bulgarie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Portugal, les cas de tuberculose sont en nette progression. Depuis 5 ans, nous assistons au même phénomène en France.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 159 Extrait 15 : En mai 1930, un événement particulièrement tragique venait confirmer les dires du professeur Lignières. À l’hôpital de Lübeck (Allemagne), 72 nouveau-nés meurent à la suite de la vaccination par le BCG. L’enquête révèle que ce vaccin avait été préparé à partir d’une souche fournie par l’Institut Pasteur français. Un procès a lieu et les résultats de l’enquête font apparaître que le personnel de l’hôpital avait reçu l’ordre de détruire tous les flacons de BCG qui n’avaient pas été utilisés. Dans ces conditions, toutes preuves n’existant plus, le tribunal attribua le décès des 72 enfants à une erreur commise par des inconnus.

page 170 Extrait 16 : LE VACCIN CONTRE LE CHOLÉRA

Quoi qu’il en soit, il apparaît aux dires de certains experts ("Science et vie", avril 1973) que le vaccin protège seulement une personne sur 2 pendant une brève période de 4 à 6 mois et qu’on ne peut compter sur ce vaccin pour enrayer une épidémie. En 1988, une grave épidémie de choléra affecta l’Inde. Des milliers d’individus furent atteints. Or, l’Organisation mondiale de la santé avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, utilisant un vaccin mis au point par des chercheurs australiens. Ce vaccins avait été expérimenté sur des animaux et était administré par voie orale. Une immunité à vie était garantie avec une seule dose dont le prix était à la portée de toutes les bourses (Communiqué ATS-ANSA-REUTER et "Corrierre del Ticino", 25 juillet 1988). Cet essai de vaccination a-t-il provoqué l’épidémie ? Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Delhi.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 176 Extrait 17 :

À propos de la vaccination contre la coqueluche, le docteur G.T. Stewart, professeur de médecine à l’Université de Glasgow (Écosse), constate que 30% des cas de coqueluche se déclarent chez les vaccinés. Il y a lieu de faire remarquer que cette vaccination fut introduite en 1936 au moment où la mortalité due à cette infection avait considérablement diminué. Il en fut d’ailleurs ainsi chaque fois pour toutes les vaccinations. quant au professeur George Dick de l’hôpital du Middlesex, autorité mondiale en matière d’immunologie, il déclare que "chaque année, le vaccin contre la coqueluche peut causer l’infirmité de nombreux enfants, provoquant des lésions cérébrales, ajoutant que les médecins sont toujours réticents lorsqu’il s’agit d’attribuer des méfaits à des thérapies qu’ils ont eux-mêmes recommandées " ("Daily Telegraph", 7 avril 1973). Et dans son ouvrage intitulé "La poliomyélite", cité dans « Survie » (1975) le docteur J. Pilette écrit que "le vaccin contre la coqueluche et le vaccin multiple Coqueluche-Diphtérie peuvent provoquer l’apparition de la poliomyélite, apparaissant de préférence dans les membres qui ont été inoculés.

Deux événements événements semblent donner raison au docteur Pilette. En Australie, dans l’État de Victoria, on a enregistré entre janvier et août 1949, 375 cas de polio dont 31 étaient liés au vaccin multiple auquel avaient été soumis le même nombre d’enfants en l’espace de 3 mois [donc 100% des enfants vaccinés !!!], alors qu’à Londres, sur 182 cas de polio chez des enfants de moins de 5 ans, 35 avaient reçu 4 semaines auparavant une inoculation de vaccin contre la coqueluche ou le vaccin mixte coqueluche-diphtérie.

Le journal "JAMA ( Journal of the American Medical Association)", en 1982, reconnaissait que "depuis le début des vaccinations avec le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, on a pu observer des réactions aiguës d’encéphalopathies liées au vaccin.

Cela, on le savait depuis bien longtemps !

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 177 et 178 Extrait 18 :

LE VACCIN POR (Rougeole, Oreillon, Rubéole)

Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H. Albonico, P. Klein, C. Grob et D. Pewner et travaillant en collaboration avec 180 médecins suisses et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu’avec le Center of Diseases Control (CDC) aux USA et le professeur D. Jachertz à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR (2 novembre 1990). De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits, en particulier aux USA. On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, 2 pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l’efficacité du vaccin. Selon le professeur Diether Jachertz, cité par ce rapport, les risques encourus étant imprévisibles, il faut se garder, en l’absence d’urgence sanitaire, "de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique."

Ce rapport rend aussi compte de la situation aux USA en 1990, à savoir que malgré une haute couverture vaccinale, les cas de rougeole sont depuis deux ans en constante augmentation. Les nourrissons et les adolescents sont les nouvelles vistimes de ces épidémies. De source officielle, la mortalité est alors 10 fois supérieure à celle enregistrée avant l’introduction du vaccin. La plupart des décès sont attribués à la pneumologie rougeoleuse. Un quart d’entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et on observe la même proportion pour les jeunes adultes (19-33 ans).

Lors du lancement de la campagne suisse de vaccination ROR en 1987, l’exemple des États-Unis fut présenté comme un modèle de référence. Après 20 ans de vaccination systématique obligatoire, les USA avançaient un taux de vaccinés de plus de 95% et une réduction massive des cas de rougeole. Cependant, la situation récemment rencontrée en 1989-1990 donne matière à réflexion. Depuis 1982, des épidémies de rougeole toujours plus importantes ont fait leur apparition. L’augmentation des déclarations de cas de rougeole en 1989 par rapport à l’année précédente fut de 380% !

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 181 et 182 Extrait 19 :

LE VACCIN CONTRE L’HÉPATITE B

(...)

Il y a une dizaine d’années, l’hépatite B était censée atteindre seulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d’un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd’hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l’équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l’hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n’ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s’est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l’innocuité et l’efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n’est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l’automne 1994 (plus de 500 000) avec l’Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l’argent et souhaitent réaliser un chiffre d’affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l’hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 199 Extrait 20 :

LE VACCIN CONTRE LA POLIOMYÉLITE

Le vaccin contre la poliomyélite a été l’un des premiers vaccins antiviraux. Mis au point par le biologiste Salk, il fut fabriqué à partir de cultures du virus sur reins de singes. Des dizaines de millions d’enfants furent vaccinés jusqu’en 1960, date à laquelle on découvrit qu’il était contaminé par le virus SV 40 du singe, virus qui avait échappé à l’attention des fabricants de vaccins et qui, on le saura trop tard, provoquait des tumeurs chez les hamsters et une cancérisation chez l’homme, ainsi que le révélèrent certains expérimentations sur tissus humains.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 209 Extrait 21 :

CONCLUSION

Dans les pays européens, mais particulièrement en France, l’affaire du sang contaminé par le virus du sida a défrayé la chronique, apparaissant au grand public comme un révélateur des pratiques scandaleuses du monde médical. C’est avec stupeur que les gens qui avaient une absolue et imbécile confiance à l’égard de la médecine allopathique institutionnelle ont appris que des produits contaminés avaient été sciemment vendus à des hémophiles, les vouant à une mort certaine à moyen terme. Pour des raisons de profit, au lieu d’être retirés du marché, les stocks de sang contaminé ont continué à être vendus. Dans le même temps, toujours pour des rasons d’ordre économique, les tests de dépistage proposés par deux laboratoires américains étaient refusés afin de permettre à l’Institut Pasteur, pris au dépourvu, de développer un test "français", source de profit pour cette institution et pour l’État.

Dans cette sombre histoire, placé sous le signe du cynisme le plus criminel qu’il soit, ont trempé des hommes politiques, leurs conseillers sortis tout droit de l’Institut Pasteur et, surtout, des médecins en charge de la santé publique, oubliant leur devoir le plus élémentaire, celui de la préserver.

Note

page 214 Extrait 22 :

En l’absence d’une connaissance immunologique exacte, le principe absurde et antiscientifique des vaccinations pouvait à la rigeur, il y a 100 ans, être compris : il relevait de l’empirisme. De nos jours, alors que de sérieux progrès ont été accomplis dans le domaine de l’immunologie et de la virologie, poursuivre dans cette voie constitue à n’en pas douter un crime contre l’humanité. Allons-nous, longtemps encore, subir la loi des fabricants de vaccins, de leurs zélés serviteurs du corps médical et des politiques corrompus qui les soutiennent ? La question est posée.

(...)

Au moment même où je termine cet ouvrage, l’un de mes correspondants américains m’adresse un fax par lequel il me rent compte d’un article paru dans le "New York Times" du 16 mai 1995, sous la plume d’un médecin nommé Lawrence K. Altman. Cet article remet complètement en question la réputation et les travaux de Pasteur, accusé par l’auteur d’avoir volé les idées et les découvertes de ses rivaux. Le docteur Altman démontre, après examen attentif et objectif des documents de laboratoire de Pasteur, que ce dernier a triché lors de ses expérimentations et qu’il a volé les travaux réalisés par d’autres.

........... F I N ......

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d’auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

LE PROJET SIDA ! [1/4]

Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L’ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l’élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l’opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c’est à vous de deviner comment s’appelle ce microbe ? Évidemment, il s’agit du virus du Sida !!

Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commission de Sénat ont révélé qu’un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n’existe pas dans la nature et contre lequel l’organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu’il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet : « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».

Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D’après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.

Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables » : les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d’un côté à exprimer leur différence, d’un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.

L’OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l’homme. En 1972, l’OMS publiait ce genre de propos : « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endommageait les processus antiviraux de la cellule ».

Pour l’exprimer plus simplement il faudrait dire : « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l’administre de façon volontaire ».

Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l’OMS. Le Dr Strecker assurait qu’en l’espace de 15 ans, toute l’Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède ! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l’épidémie !

Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s’appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s’estimer heureux de ne pas avoir été victime d’un suicide (le suicide typique, c’est le célèbre chercheur californien qui s’est ligoté les mains dans le dos, s’est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n’a été retrouvée [...] )

En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l’hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l’ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l’instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C’est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l’Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, c’est lui qui a décidé du mode d’application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l’abri pour longtemps.

Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d’autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C’est une des raisons qui font qu’au Nicaragua, au Slvador et dans d’autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure am

éricaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l’USAID par exemple. L’organisme de planification ne se trouve pas à l’intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s’appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L’état-majo est au State Departement’s Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C’est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d’alors Jimmy Carter.

Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement’s Office of Population Affairs (OPA) pour l’Amérique latine a dit la chose suivante : « Il n’y a qu’une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c’est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d’autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s’il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C’est louable, mais il ne s’agit en fait que de matières premières et de facteurs d’environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu’un exemple parmi d’autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n’a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C’est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l’ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d’y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s’abattre sur le Salvador ».

...)

Fergusen nous donne encore plus d’explications : « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d’abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».

(...)

Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l’égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l’automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l’auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d’Amérique du Sud, et qu’il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire : « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.

******** F I N *********

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 11:34

Effets secondaires gravissimes, invention de maladies imaginaires, laxisme d’autorités sanitaires bienveillantes : dans un livre choc, le Dr Sauveur Boukris accuse. "Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien", écrivait Voltaire... Près de trois siècles plus tard, un médecin, Sauveur Boukris, confirme la sentence et aggrave la peine dans un livre édifiant, dont nous publions des extraits en exclusivité : Ces médicaments qui nous rendent malades (Le Cherche Midi). Où l’on découvre, stupéfait, les effets secondaires gravissimes de médicaments consommés couramment ; l’ignorance crasse de médecins formés, le plus souvent, à la seule école de l’industrie pharmaceutique ; l’invention de maladies imaginaires pour l’unique profit d’entreprises florissantes ; la partialité des experts ; le laxisme d’autorités sanitaires bienveillantes ; la force d’un lobby mieux organisé que jamais... Entre autres bonnes nouvelles ! "Cette industrie a changé de politique, écrit en préface de l’ouvrage le Pr Philippe Even, président de l’Institut Necker et farouche défenseur de l’indépendance de ses pairs (lire son interview). On a privilégié les profits immédiats, le retour sur investissement rapide ; on a cherché davantage à satisfaire des actionnaires qu’à répondre aux besoins de santé des populations." Le récit circonstancié de son confrère généraliste, truffé d’anecdotes vécues et de références chiffrées, apporte de l’eau fraîche -des torrents, même- au moulin des trop rares Don Quichotte de la médecine moderne. Le réquisitoire mériterait aussi d’être largement entendu : gageons qu’il suscite un branle-bas de combat général. Car les Français sont particulièrement exposés à ces dérives, qui consomment chaque année de deux à six fois plus de gélules et comprimés en tout genre, ronds, carrés, oblongs ou taillés en losange, que leurs voisins européens et leurs cousins d’Amérique. Un penchant hasardeux, dont les conséquences sont loin d’être sans dommage.

Tout ce que l’on ne vous dit pas sur les médicaments 
LES EXTRAITS DU LIVRE DU Dr SAUVEUR BOUKRIS :
Morts sur ordonnance

« Au Québec, le ministère de la Santé a évalué entre 10 et 15 % la proportion d’hospitalisations de personnes âgées liées aux médicaments. [...] Selon les experts, les médicaments seraient responsables, chaque année, de près de 100 000 morts aux Etats-Unis et de 10 000 au Royaume-Uni. Une étude américaine publiée en 1990 estimait que 5 à 20 % des admissions à l’hôpital étaient le résultat des effets indésirables des médicaments. Ce chiffre est probablement sous-estimé ! En 1998, une enquête du Journal of the American Medical Association révélait que 106 000 citoyens américains seraient morts après une utilisation de leurs médicaments dans des conditions normales, c’est-à-dire sans erreur de prescription, sans abus ni surdosage ! [...] Au cours des vingt-cinq dernières années, 10 % des nouveaux médicaments mis sur le marché aux Etats-Unis ont fait l’objet de retrait du marché ou de forte mise en garde. [...] 20 millions de patients aux Etats-Unis ont pris au moins un des cinq médicaments retirés du marché en raison de risques graves entre septembre 1997 et septembre 1998. En France, on estime le nombre de décès dus aux médicaments entre 8 000 et 13 000 par an. Deux à trois fois plus que ceux dus aux accidents de la route ! On compte près de 130 000 hospitalisations par an dues à des médicaments. Ce sont les plus de 65 ans qui paient le plus lourd tribut et qui sont les plus touchés par ces accidents thérapeutiques. Les effets néfastes des médicaments sont deux fois plus fréquents après 65 ans, et 10 à 20 % d’entre eux conduisent à des séjours à l’hôpital. Avec l’âge, le nombre de maladies augmente et la consommation de médicaments aussi. De plus, le risque d’interaction du fait d’association de médicaments s’accroît ! »

Des mélanges parfois explosifs

« On connaît tous des patients âgés prenant plus de 10, voire 15 ou 20 médicaments différents, l’un pour l’arthrose, l’autre pour l’hypertension artérielle, un troisième pour dormir, un autre pour la prostate, un cinquième pour le cholestérol, etc. Il est fréquent de constater que des personnes âgées avalent leur médicament pour dormir avec leurs anxiolytiques et prennent aussi des diurétiques pour leur hypertension artérielle. L’association de tous ces médicaments augmente le risque de chute par hypotension orthostatique : le malade se lève de son lit, sa tension artérielle chute brutalement, lui fait perdre l’équilibre et il tombe ! En particulier, l’association de tranquillisants et de diurétiques expose à ce risque de chute et de fracture ! [...]

Durant l’été 2003, resté célèbre en raison de la canicule qui a fait plus de 15 000 morts en France, l’assurance-maladie d’Ile-de-France a réalisé une étude chez les personnes âgées de plus de 75 ans qui présentaient une surmortalité de 70 %. Elle s’est intéressée à la consommation de médicaments durant les mois de juin, juillet et août 2003 de 584 099 personnes âgées de plus de 75 ans, dont 5 560 sont mortes pendant cette canicule. Plus d’un tiers des personnes âgées avaient pris un médicament psychotrope durant ces mois-là (neuroleptiques, antidépresseurs, tranquillisants ou hypnotiques). »

Des enfants et des adolescents traités avec des antidépresseurs

« Comme chez l’adulte, les effets indésirables des médicaments survenant chez les enfants sont une cause fréquente de maladie et d’hospitalisation. Une étude allemande réalisée en 2005 a mis en évidence des effets indésirables de médicaments chez 12 % des enfants hospitalisés. On estime que 2 % des admissions d’enfants dans les services d’urgences concernent un effet indésirable médicamenteux. [...] Ce sont les enfants de moins de 1 an qui sont les plus touchés. [...] En 2005, la Caisse d’assurance-maladie de l’Aude a publié une étude réalisée à partir des demandes de remboursement de médicaments prescrits durant l’année 2001. Plus de 1 000 prescriptions concernaient des AINS [NDLR : anti-inflammatoires non stéroïdiens] dont le choix n’était pas adapté à l’âge de l’enfant. 108 prescriptions contenaient de la niaprazine (Nopron), substance classée dans la famille des antihistaminiques commercialisés pour les troubles du sommeil de l’enfant. L’âge moyen des enfants était de 1,5 an alors que le Nopron est contre-indiqué chez les enfants de moins de 3 ans ! [...] Enfin, 570 prescriptions concernaient l’eucalyptol (Calyptol inhalant). Ce médicament est contre-indiqué chez les moins de 12 ans en raison du risque de convulsions. [...] En 2003, l’Agence anglaise du médicament a estimé que 30 000 à 40 000 enfants et adolescents ont été traités par des antidépresseurs alors qu’aucun de ces médicaments n’avait obtenu d’autorisation pour cette tranche de la population ! » Des calmants hallucinogènes

« En 2007, en Australie, le système de pharmacovigilance a alerté les médecins sur les troubles neuropsychiatriques provoqués par le zolpidem (Stilnox), de la famille des hypnotiques. Les troubles observés sont les hallucinations (104 cas) et les amnésies (62 cas). Mais le plus grave et le plus inquiétant, c’est la survenue de somnambulisme avec des comportements étranges ou inappropriés. [...] Une patiente a été observée en train de manger devant son réfrigérateur ouvert... alors qu’elle dormait. Elle a grossi de 23 kilos en sept mois. Un patient s’est réveillé avec un pinceau dans la main : il venait de peindre la porte d’entrée en dormant ! Enfin deux autres cas ont été signalés : des patients ont conduit leur véhicule alors qu’ils dormaient ! »

Les effets secondaires peuvent être ravageurs

« Pratiquement toutes les classes thérapeutiques peuvent induire des effets secondaires graves, voire mortels, surtout lorsqu’ils surviennent chez des personnes âgées ou fragiles. Les anti-inflammatoires utiles dans les poussées d’arthrose peuvent provoquer des hémorragies digestives ou des ulcères gastro-duodénaux. Les antalgiques aussi facilement prescrits ou consommés que le paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, etc.) peuvent induire des hépatites graves, dont certaines sont fulminantes, voire mortelles. Les psychotropes, dont la France détient le record européen de consommation, sont responsables de 10 à 30 % des hospitalisations en urgence, surtout chez les personnes âgées. Les antibiotiques, dont là encore les Français sont les champions de la prescription, induisent des accidents cutanés de type allergique et, pour certains d’entre eux, des problèmes hématologiques ou rénaux. Il est essentiel de connaître les effets secondaires d’un médicament pour les dépister et prévenir les risques ! Il y a des effets indésirables fréquents mais bénins ; il y a des effets secondaires rares mais graves. [...] L’acné chez les adolescents est banale ; le traitement par l’isotrétinoïne (Roaccutane) des laboratoires Roche peut provoquer des troubles psychiques graves. En mars 2007, la FDA [NDLR : Food and Drug Administration, autorité sanitaire américaine] avait déjà signalé l’existence de troubles psychiques chez des patients prenant du Roaccutane ; entre 1982 et mai 2000, elle avait recensé 37 cas de suicide (24 pendant le traitement et 13 après), 110 hospitalisations pour dépression, idées suicidaires ou tentative de suicide et 284 cas de dépression sans hospitalisation ! »

Quand Le sevrage nuit à la santé

« En 2001, un médicament est mis sur le marché : le bupropion (Zyban). C’est une substance proche d’un psychostimulant amphétaminique. La dénomination commune internationale est l’amfébutamone, et cette molécule était autrefois commercialisée comme anorexigène coupe-faim amphétaminique sous le nom de Tenuate Dospan, de Moderatan, de Prefamone Chronules, médicaments retirés du marché en 1999 en raison du risque d’hypertension artérielle pulmonaire et de risques cardiaques. Aux Etats-Unis, l’amfébutamone est commercialisée depuis 1997 pour le sevrage tabagique. En France, son autorisation de mise sur le marché n’a été accordée qu’en 2001 sous réserve d’une surveillance destinée à poursuivre l’évaluation du potentiel de pharmacovigilance. Ce médicament a une efficacité modeste, mais son succès dépend de la posologie : plus on augmente la dose du bupropion, plus le taux de réussite de sevrage tabagique s’accroît. En revanche, les effets secondaires ne sont pas mineurs : sur 1 237 cas d’effets secondaires rapportés au centre de pharmacovigilance d’Australie, on compte 427 cas de troubles psychiques (anxiété, dépression, agitation) et 406 cas de troubles neurologiques (tremblements, convulsions, céphalées). On a décrit des risques accrus de cauchemars. En dehors de ces risques psychiques, il existe aussi des réactions allergiques graves qui surviennent dix à vingt jours après le début du traitement : réaction d’urticaire, d’oedème, de démangeaisons. Enfin, des cas d’hypertension artérielle ont été rapportés. »

Des dangers du pamplemousse associé à un médicament « L’efficacité d’un médicament peut être altérée lorsqu’il est associé à des aliments qui augmentent ses effets secondaires. L’exemple le plus typique est le jus de pamplemousse ! L’absorption intestinale de certains médicaments est régulée par la présence d’une molécule chimique appelée cytochrome P450. Certaines substances contenues dans le pamplemousse [...] augmentent l’absorption intestinale des médicaments. Les conséquences sont une majoration de leurs effets secondaires équivalant à un surdosage ! Les médicaments à risque sont la simvastatine (Lodales et Zocor) utilisée pour faire baisser le taux de cholestérol dans le sang et, dans une moindre mesure, l’atorvastatine (Tahor). Un jus de pamplemousse pris en même temps que la simvastatine peut multiplier par 15 l’absorption du médicament et provoquer des atteintes musculaires graves ! Des cas de rhabdomyolyses ont été décrits lors de l’association de statines avec le jus de pamplemousse. De même, la prise simultanée de jus de pamplemousse et de traitements immunosuppresseurs préconisés contre le rejet de greffes risque d’endommager le rein ! »

Des remèdes pires que les maux

« Catherine, 38 ans, vient consulter pour perdre du poids et en particulier quelques centimètres au niveau de la taille et des hanches. Je l’examine et, en effet, son indice de masse corporelle (IMC) et son périmètre abdominal sont élevés. Je lui prescris Acomplia, un nouveau médicament indiqué contre l’obésité. Quelques jours après, elle est en dépression ! Elle m’appelle et se plaint d’être fatiguée, de ne pas avoir la force de se lever, d’avoir les larmes faciles et d’être plus irritable. Elle ne se reconnaît plus et dit ne pas avoir d’énergie pour s’occuper de ses deux enfants. Je ne comprends pas ce qui se passe, d’autant que je connais bien cette patiente : Catherine P. est une personne tonique et dynamique, toujours en mouvement. Je lui demande de faire des analyses de sang pour vérifier qu’il n’existe pas d’anomalie particulière, et je ne trouve rien. Quelques jours plus tard, je fais le rapprochement avec le médicament prescrit et je l’appelle : "Madame, prenez-vous toujours de l’Acomplia ? - Oui, bien sûr. Je le prends tous les matins. - Alors, vous allez l’arrêter dès aujourd’hui ! - Mais pourquoi ? demande-t-elle, inquiète. - Je pense que c’est l’Acomplia qui a provoqué votre dépression !"

Quelques jours plus tard, après l’arrêt du médicament, elle retrouve son énergie et son dynamisme. Prendre un médicament pour maigrir et tomber en dépression, traiter une infection urinaire banale et avoir une tendinite du pied, avaler un tranquillisant et avoir des troubles de la mémoire, voilà des exemples concrets d’iatrogénie médicamenteuse. » Beaucoup d’innovations n’en sont pas

« Le nombre de nouveaux médicaments mis sur le marché par chaque grande firme est passé de 12 entre 1990 et 1995 à 7 entre 1996 et 2000. Le nombre de médicaments anciens génériques est désormais plus important que celui des nouveaux. D’année en année, la source de médicaments nouveaux se tarit ! Sur 100 médicaments mis sur le marché, près de 80 % d’entre eux ne sont que des copies de produits déjà existants. [...] Le terme d’innovation est pourtant souvent utilisé par les laboratoires pharmaceutiques lors du lancement d’un nouveau produit. Nouveau, innovation, innovant, sont les mots employés par les publicités. De quoi s’agit-il ? D’une innovation commerciale, technologique ou d’un réel progrès thérapeutique ? [...]

L’industrie pharmaceutique, soucieuse de son image de modernité, plaque l’innovation à toutes les sauces afin de justifier le prix trop élevé des médicaments et de donner un aspect luisant à des médicaments qui n’apportent rien de neuf ! [...] La très grande majorité des "nouveaux médicaments" ne sont, en réalité, que des modifications de médicaments plus anciens ! On modifie un radical chimique, on tourne la même molécule et on obtient un médicament "nouveau", que l’on appelle le médicament "me too". [...] Les médicaments sont quasi identiques, ce sont des copies de molécules déjà existantes. Grâce à une forte promotion et des dépenses considérables en publicité, on tente de conquérir une part du marché. Plus le marché est lucratif et plus les laboratoires cherchent à s’engouffrer dans ce créneau porteur en présentant aux médecins prescripteurs des molécules prétendument nouvelles ou des médicaments prétendument supérieurs en efficacité ou en tolérance ! [...] Le laboratoire n’a pas à prouver que le "nouveau" médicament est plus efficace que ceux existant déjà mais qu’il est meilleur qu’un placebo. Autrement dit, les essais cliniques doivent prouver que le médicament utilisé a une meilleure efficacité qu’une pilule vide. »

Le traitement de la ménopause provoque l’incontinence

« Contrairement à une idée largement répandue selon laquelle le traitement hormonal substitutif de la ménopause aurait un effet bénéfique sur l’incontinence urinaire, il a été montré, au contraire, que ce trouble de la vessie serait un effet indésirable de ces traitements. A partir d’une analyse de données portant sur plus de 20 000 femmes réalisée en février 2005 (essai Women’s Health Initiative), il a été montré une augmentation de la fréquence des incontinences urinaires chez les femmes ménopausées sous traitement hormonal substitutif (association d’oestrogène et de progestérone) par rapport à un groupe placebo. Et, surprise, chez des femmes jusque-là sans histoire sur le plan vésical, la fréquence des incontinences urinaires survenues dans un délai d’un an a été de 16 % sous oestroprogestatif contre 9 % sous placebo. »

Sans ordonnance, mais pas sans risque !

« En France, depuis le 1er juillet 2008, la vente de certains médicaments est autorisée en accès libre au public. Les laboratoires ont fait pression pendant des années auprès des pouvoirs publics pour accéder à ce marché de près de 2 milliards d’euros et de 423 millions de boîtes vendues en 2007. [...] Les avantages pour les compagnies pharmaceutiques sont surtout financiers, car les prix des médicaments d’automédication sont libres (ce qui permet de réaliser des marges substantielles), et ces médicaments peuvent faire l’objet de communication auprès du grand public. [...] Pour que l’automédication soit efficace, il faut que les patients ne soient pas trop malades (ni trop fragiles). [...] Prenons l’exemple du mal de gorge. [...] Si le malade utilise des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène, cela n’est pas sans risque. [Ce produit peut] altérer la fonction rénale et chez les patients cardiaques ou déshydratés, ou chez ceux prenant déjà des médicaments, l’insuffisance rénale peut être grave. »

Certains médicaments provoquent des crises de foie

« Le foie est l’organe du corps humain particulièrement visé par les médicaments car c’est souvent là que passent les métabolites. C’est la grande usine d’épuration des produits en général et des médicaments en particulier. De tous les cas d’hépatite aiguë, 10 % sont d’origine médicamenteuse. Chez les femmes de plus de 50 ans, ce chiffre atteint 40 %. [...] Le nombre de médicaments incriminés dans des cas d’hépatite approche le millier. Les spécialistes sont formels : devant une hépatite d’origine indéterminée, tout médicament doit être suspecté ! »

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

« La revue Prescrire, indépendante des laboratoires pharmaceutiques et riche de plus de 30 000 abonnés, pose directement la question : "L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé [Afssaps] est-elle avant tout au service des patients ou au service des firmes pharmaceutiques ?" Et pour illustrer ces propos, elle cite des exemples. A partir de quatre médicaments (Di-Antalvic, Agréal, Mediator et les coxibs), la rédaction de la revue Prescrire attaque l’Afssaps en lui reprochant sa lenteur excessive dans ses prises de position et son opacité. [...] Ainsi, le Di-Antalvic : ce médicament, très connu et largement prescrit [...], est un mélange de dextropropoxyphène et de paracétamol. [...] Il peut entraîner des troubles respiratoires et perturber le rythme cardiaque. En Suisse et en Suède, ce médicament a été retiré en raison du risque d’intoxication mortelle. Aux Etats-Unis, l’association de consommateurs Public Citizen a présenté à l’Agence américaine du médicament une pétition demandant le retrait des médicaments contenant du dextropropoxyphène au vu des données du réseau Drug Abuse Warning Network, qui a recensé 2 110 décès accidentels entre 1981 et 1990. En Angleterre et au pays de Galles, il est prévu que les autorisations de mise sur le marché des associations contenant du dextropropoxyphène soient retirées. En France, on a enregistré des décès mais le médicament n’est pas (encore) retiré ! Selon la Caisse nationale d’assurance-maladie, l’association dextropropoxyphène et paracétamol était au deuxième rang des médicaments les plus prescrits en 2006 avec environ 48 millions de boîtes. »

Les médecins téléguidés ?

« Toutes les données reçues [par les médecins] sur le médicament sont délivrées par la visite médicale, par la presse, par des congrès, par des experts universitaires. Au centre de ce dispositif se trouve l’industrie pharmaceutique ! [...] Les laboratoires financent les sources d’information et les moyens de la diffuser. Les dépenses de promotion réalisées par l’industrie pharmaceutique en France sont estimées à 12 ou 13 % du chiffre d’affaires, soit près de 3 milliards d’euros. La grande majorité de ce budget est consacrée à la visite médicale (75,8 %), puis vient la publicité (13,4 %), les congrès (8,6 %) et les échantillons (2,2 %). [...] La visite médicale est une véritable machine de guerre. Une enquête réalisée en 2007 sur 60 000 médecins généralistes montre que 20 % d’entre eux ont reçu plus de 40 visites dans le mois, 45 % de 11 à 40 visites et 32 % de 1 à 10 visites. Seuls 3,2 % des médecins interrogés n’ont reçu aucune visite dans le mois. On estime à 330 le nombre moyen de visites reçues chaque année par un médecin généraliste, soit 33 par mois environ, soit près de 2 par jour ! [Les visiteurs médicaux] étaient 9 000 durant l’année 1975 et sont passés à 17 500 en 1998 puis à 21 000 en 1999 pour atteindre 23 250 en 2005. [...] Aux Etats-Unis, dans l’affaire Vioxx, la commission de la Chambre des représentants, en analysant la stratégie commerciale du produit, a montré que le laboratoire avait donné des directives à son réseau de visite médicale pour minorer les risques cardio-vasculaires du médicament. »

Les experts sous influence...

« La question de l’impact des conflits d’intérêts est rarement abordée en France dans les milieux médicaux. De quoi s’agit-il ? De relations étroites et financières entre les professionnels de santé et l’industrie pharmaceutique. La question qui se pose est de savoir si les experts appelés par les autorités sanitaires ont des intérêts particuliers dans les firmes pharmaceutiques. A tous les échelons de l’élaboration du médicament, les relations entre experts et firmes pharmaceutiques sont très étroites, et ce qui les rapproche est sonnant et trébuchant !

[L’Afssaps] fait appel à des experts pour évaluer les médicaments. En 2005, elle a eu recours à 1 800 experts externes qui devaient déclarer les intérêts financiers qui les unissaient avec les firmes pharmaceutiques. Si l’on analyse le rapport des déclarations d’intérêt 2005, on observe que 135 experts (soit 12 %) n’ont jamais fait parvenir de déclarations d’intérêt ! 283 ont déclaré n’avoir aucun lien avec une entreprise du médicament. Un grand nombre d’experts sollicités et consultés sont liés à l’industrie pharmaceutique : 30 % ont plus de cinq contrats en cours avec les laboratoires et 10 % en sont actionnaires ! [...] En Angleterre, sur les 38 membres de la Commission nationale de pharmacovigilance du Royaume-Uni, 19 ont reçu des paiements directement de la part des firmes pharmaceutiques et, sur les 19 qui n’avaient pas d’intérêt personnel, 10 ont déclaré avoir reçu des fonds de façon indirecte. »

... et les autorités sous pression

« En 2002, les dix principales firmes pharmaceutiques ont investi 55,8millions de dollars dans leur travail de lobbying aux Etats-Unis. Au Congrès américain, on compte 675 lobbyistes qui travaillent pour les intérêts de l’industrie pharmaceutique, soit sept lobbyistes pour chaque sénateur ! Que se passe-t-il en Europe ? Plus de 3 000 groupes d’intérêts disposent d’un bureau permanent dans le centre de Bruxelles. En 1992, la Commission européenne estimait que plus de 10 000 lobbyistes professionnels étaient actifs à Bruxelles ou à Strasbourg ! Actuellement, 500 grandes entreprises ont leur propre représentation à Bruxelles. 130 bureaux d’avocats se sont spécialisés dans les affaires juridiques européennes. »

L’Europe du médicament est opaque

« Comme toutes les institutions européennes, l’Agence européenne du médicament [Emea] est tenue à la transparence de ses décisions. La réalité est bien différente : les documents publiés, les Epar (European public assessment reports), ne font jamais état des divergences d’opinion entre les experts. Par conséquent, si une minorité est en dé saccord avec la décision prise, les professionnels de la santé et les patients n’en savent rien ! Autre remarque : les décisions concernant les effets indésirables des médicaments, le retrait du marché, les interactions médicamenteuses sont émises sans justification et sans que les médecins ou les patients puissent avoir accès au moindre document ! Cette opacité des institutions, ce manque de transparence, le fait que les rapports sur la surveillance des effets indésirables des médicaments ne soient pas rendus publics, jettent un discrédit sur l’institution qui prend des décisions et entretiennent le doute sur la fiabilité des mesures prises. [...]

Par ailleurs, les agences du médicament, qu’elles soient nationales ou européenne, dépendent financièrement des firmes pharmaceutiques ; ce sont les industriels du médicament qui versent des redevances lors des demandes de mise sur le marché. Ces redevances représentent plus de 70 % du budget de ces agences. La part industrielle du budget de l’Emea est passée de 53 % en 1998 à 69,46 % en 2002 et à plus de 70 % aujourd’hui ! »

 

Les labos créent des malades imaginaires

« Les laboratoires mettent au point des médicaments pour combattre des maladies mais fabriquent aussi des troubles pour développer un marché pour leurs médicaments. Les laboratoires pharmaceutiques inventent des médicaments pour sauver des vies humaines et réduire les souffrances, mais ils ne se contentent pas de vendre à ceux qui en ont besoin. Grâce à des budgets publicitaires colossaux et des campagnes de promotion efficaces, les firmes pharmaceutiques jouent sur nos peurs : peur de la mort, de la maladie, de la déchéance physique ou psychique, pour vendre des médicaments ! Des troubles mineurs sont décrits comme des affections graves : la timidité, par exemple, devient ?un trouble d’anxiété sociale ?, la tension prémenstruelle devient ?un trouble dysphorique prémenstruel ?. Etre un sujet à risque pouvant développer une pathologie devient une pathologie en soi ! Les stratégies marketing des firmes pharmaceutiques ciblent ainsi les bien-portants. [...]

Un exemple de ce dérapage des laboratoires est celui du ?marché du dysfonctionnement sexuel féminin ?. Il fallait y penser ! Après le succès du sildénafil (Viagra), lancé en 1998, où le laboratoire Pfizer a vendu, dans le monde, plus de 1,5 milliard de ces pilules bleues, ce même laboratoire a voulu multiplier par deux son ?marché ? en cherchant l’équivalent pour les femmes. »

Premiers consommateurs de médicaments sur la planète, les Français sont-ils plus malades que le reste de l’humanité ? Essais cliniques, effets secondaires, marketing : décryptage dans l’émission Les Médicamenteurs sur France 5, le mardi 9 juin à 20h35. Rediffusion le 21 juin à 21h30 et le 1er juillet à 0h20.

Voir le site de l Editeur http://www.cherche-midi.com/theme/d...
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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 09:28

Par Tom Eley – Le 23 juillet 2010897182-1105968

La ville irakienne de Falloujah continue de subir les terribles conséquences de l’attaque militaire des États-Unis vers la fin 2004.

Selon les auteurs d’une nouvelle étude, « Cancer, Mortalité infantile et Ratio sexuel des naissances à Falloujah, en Irak, entre 2005 et 2009 », le peuple de Falloujah éprouve des taux très élevés de cancers, de leucémies, de mortalités infantiles et des mutations sexuelles que celles enregistrées chez les survivants d’Hiroshima et de Nagasaki au cours des années qui ont suivi l’incinération de ces villes japonaises par les frappes nucléaires américaines en 1945.

L’étude épidémiologique, publiée dans International Journal of Environmental Studies and Public Health (IJERPH) (version PDF), a également constaté la prévalence de ces conditions à Falloujah comme étant plusieurs fois plus grande que dans les pays avoisinants.

L’assaut sur Falloujah, une ville située à  43 miles à l’ouest de Bagdad, a été un des crimes de guerre les plus horribles de notre temps. Après que la population ait résisté à l’occupation américaine de l’Irak, une guerre de pillage néocolonial lancée sur une base mensongère, Washington était déterminé à faire un exemple avec la ville majoritairement sunnite. C’est ce qu’on appelle une punition

« exemplaire » ou « collective », et, selon les lois de la guerre, c’est illégal.

La nouvelle étude sur la santé publique de la ville prouve maintenant ce qui était soupçonné depuis longtemps : Qu’une forte proportion des armes utilisées lors de l’attaque contenait de l’uranium appauvri, une substance radioactive utilisée dans les obus pour accroître leur efficacité.

Dans une étude sur 711 maisons et 4,843 individus réalisée en janvier et février 2010, les auteurs Chris Busby, Malak Hamdan, Entesar Ariabi et une équipe de chercheurs ont constaté que le taux de cancer avait quadruplé depuis l’attaque des Etats-Unis, il y a cinq ans, et que les formes de cancers de Falloujah étaient semblables à celles constatées chez les survivants des bombes atomiques de Hiroshima et de Nagasaki, qui ont été exposés à d’intenses retombées radioactives.

A Falloujah, le taux de leucémies est 38 fois plus élevé, le taux de cancers chez les enfants est 12 fois plus élevé, et les cancers du sein sont 10 fois plus fréquents que dans les populations de l’Egypte, de la Jordanie et du Koweït. Les niveaux croissants de lymphomes adultes et des tumeurs cérébrales ont également été signalés. À 80 décès par 1,000 naissances, le taux de mortalité infantile de Falloujah est plus que cinq fois supérieur à celui de l’Egypte et de la Jordanie, et huit fois supérieur à celui du Koweït.

Étonnamment, après 2005, la proportion des naissances des filles à Falloujah a fortement augmenté. Dans la population normale, 1050 garçons naissent pour 1000 filles. Mais, parmi ceux qui sont nés à Falloujah dans les quatre années qui ont suivi l’agression des États-Unis, le ratio a été ramené à 860 garçons pour 1000 naissances féminines. Cette altération est semblable au ratio entre les sexes pour Hiroshima après le bombardement atomique des États-Unis de 1945.

La raison la plus probable pour le changement dans le ratio des sexes, selon les chercheurs, est l’impact d’un événement mutagène très important, comme l’utilisation d’uranium appauvri dans les armes des États-Unis. Alors que les garçons ont un chromosome X, les filles ont un chromosome X redondant et peuvent donc absorber la perte d’un chromosome par des altérations génétiques.

« C’est un résultat extraordinaire et alarmant », a déclaré Busby, un professeur en biosciences moléculaires de l’Université d’Ulster et directeur des recherches scientifiques pour Green Audit, un groupe indépendant pour les recherches environnementales. « Pour produire un tel effet, certaines expositions mutagènes très importantes doivent avoir eu lieu en 2004, lorsque les attaques ont eu lieu. Nous devons trouver de toute urgence quel a été l’agent. Bien que beaucoup de gens soupçonnent l’uranium, nous ne pouvons pas être certains sans des recherches supplémentaires et des analyses indépendantes des échantillons provenant de la région. »

Busby a déclaré à une chaîne italienne de nouvelles télévisées, RAI 24, que l’augmentation « extraordinaire » des maladies reliées aux radiations de Falloujah est plus élevée que celle observée dans les populations d’Hiroshima et de Nagasaki après les frappes nucléaires américaines de 1945. « Je pense que cela a été causé par l’uranium appauvri », a-t-il dit. « Cà doit être relié. »

Les militaires américains utilisent de l’uranium appauvri, également connu comme du combustible nucléaire épuisé, dans les obus perforants et les balles, parce qu’il est deux fois plus dense que le plomb. Cependant, une fois que ces obus ont atteint leur cible, plus de 40 pour cent de l’uranium est pulvérisé sous la forme de minuscules particules dans la zone de l’explosion. Ces particules peuvent y rester pendant des années, pénétrant facilement dans la circulation sanguine humaine, où se logeant dans les glandes lymphatiques et attaquent l’ADN produite dans les spermatozoïdes et les ovules des adultes infectés, provoquant de graves anomalies congénitales dans la prochaine génération.

La recherche est la première justification scientifique systématique d’un ensemble de preuves montrant une forte augmentation de la mortalité infantile, d’anomalies congénitales et de cancers à Falloujah.

En octobre 2009, plusieurs médecins irakiens et britanniques a écrit une lettre à l’Organisation des Nations Unies demandant une enquête sur la prolifération des maladies reliées aux radiations de la ville :

« Les jeunes femmes de Falloujah, en Irak, sont terrifiées par l’idée d’avoir des enfants en raison du nombre croissant de bébés nés grotesquement déformés, sans tête ou avec deux têtes, un seul œil dans le front, des corps écailleux ou des membres manquants. En outre, les jeunes enfants de Falloujah sont maintenant frappés par d’hideux cancers et leucémies…. »

« En septembre 2009, l’hôpital général de Falloujah comptait 170 nouveau-nés, dont 24 pour cent sont morts au cours des sept premiers jours, avec un effrayant 75 pour cent des bébés morts classés comme déformés…. »

« Les médecins de Falloujah ont expressément souligné que, non seulement ils ont observé un nombre sans précédent de malformations congénitales, mais les naissances prématurées ont aussi considérablement augmentées après 2003. Mais, ce qui est plus alarmant, c’est que les médecins de Falloujah ont dit, « Un nombre important de bébés qui survivent commencent à développer des handicaps graves à un stade ultérieur. »

Le Pentagone a répondu à ce rapport en affirmant qu’il n’y avait pas d’études pour prouver l’existence d’une telle prolifération des malformations ou autres maladies associées à des actions militaires américaines. « Aucune étude à ce jour n’a indiqué des problèmes environnementaux résultant en des problèmes spécifiques pour la santé », a déclaré un porte-parole du Ministère de la Défense à BBC, en mars. Il n’y a eu aucune étude, cependant, en grande partie parce que Washington et ses marionnettes du régime de Bagdad les ont bloquées.

Selon les auteurs de « Cancer, Mortalité infantile et Ratio sexuel des naissances à Falloujah », les autorités irakiennes ont tenté de saborder son enquête. « Peu de temps après que le questionnaire de l’enquête ait été rempli, la télévision irakienne aurait supposément diffusé qu’un questionnaire d’enquête était dirigé par des terroristes et que toute personne répondant ou administrant le questionnaire pouvait être arrêté », rapporte l’étude.

L’histoire des atrocités commises par l’impérialisme américain contre le peuple de Falloujah a commencé le 28 avril 2003, lorsque soldats américains ont tiré au hasard sur une foule d’environ 200 habitants qui protestaient contre la conversion d’une école locale en une base militaire américaine. Dix-sept personnes ont été tuées dans l’attaque non provoquée, et, deux jours plus tard, les soldats américains ont tiré sur une manifestation contre les meurtres, tuant deux personnes de plus.

Ceci a intensifié la colère populaire, et Falloujah est devenue un centre de la résistance sunnite contre l’occupation américaine, et les représailles américaines. Le 31 mars 2004, une foule en colère a intercepté un convoi de l’entreprise privée de sécurité Blackwater USA, responsable de sa propre portion de crimes de guerre. Quatre mercenaires de Blackwater ont été sortis de leurs véhicules, battus, brûlés et pendus à un pont sur l’Euphrate.

L’armée américaine a alors promis de pacifier la ville, avec un officier anonyme disant que ce serait transformé en « un champ mortel », mais l’opération Vigilant Resolve, impliquant des milliers de Marines, s’est terminée par l’abandon du siège par l’armée américaine en mai 2004. La victoire des habitants de Falloujah contre une écrasante supériorité militaire a été célébrée à travers tout l’Irak et observée partout dans le monde.

Le Pentagone a donné sa réponse en novembre 2004. La ville a été encerclée et tous ceux qui étaient demeurés à l’intérieur ont été déclarés être des combattants ennemis et un bon parti pour la machine à tuer la plus lourdement équipée de l’histoire du monde. L’Associated Press a rapporté que les hommes qui tentaient de s’enfuir de la ville avec leurs familles étaient refoulés dans l’abattoir.

Dans l’attaque, les Etats-Unis fait ont fait un usage intensif d’un agent chimique au phosphore blanc. En apparence seulement utilisé pour éclairer les champs de bataille, le phosphore blanc cause des blessures terribles et souvent mortelles, brûlant son chemin à travers les matériaux de construction et les vêtements avant de brûler son chemin dans la peau jusqu’aux os. Le produit chimique a également été utilisé pour aspirer l’oxygène des bâtiments où les civils se cachaient.

Le désir de Washington de se venger de la population est indiqué par le fait que l’armée américaine ait déclaré environ le même nombre de « tireurs » tués (1,400) que ceux qui ont été faits prisonniers (1,300-1,500). Dans un cas, NBC News a pris des séquences vidéo d’un soldat américain exécutant un irakien blessé et sans défense. Une enquête de la Marine a rapporté plus tard que le soldat avait agi en légitime défense.

Cinquante-et-un soldats américains sont morts en 10 jours de combat. Le nombre réel de résidents de la ville qui ont été tués n’est pas connu. La population de la ville avant l’attaque était estimé à entre 425,000 et 600,000. La population actuelle est estimé à entre 250,000 et 300,000. Des dizaines de milliers, principalement des femmes et des enfants, ont fui avant l’attaque. La moitié des bâtiments de la ville ont été détruits, la plupart des décombres.

Comme une grande partie de l’Irak, Falloujah reste en ruines. Selon un récent rapport d’IRIN, un projet du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies, Falloujah n’a toujours aucun système d’égouts fonctionnels six ans après l’attaque. « Les déchets se déversent dans les rues et s’infiltrent dans l’eau potable », note le rapport. « Abdul-Sattar Kadhum al-Nawaf, directeur de l’hôpital général de Falloujah, a déclaré que les problèmes des égouts ont eu des conséquences néfastes sur la santé des résidents. Ils étaient de plus en plus touchés par la diarrhée, la tuberculose, la typhoïde et les autres maladies transmissibles. »

La sauvagerie de l’agression des États-Unis a choqué le monde, et a ajouté le nom de Falloujah à la liste infâme qui comprend My Lai, Sabra et Chatila, Guernica, Nankin, Lidice et Wounded Knee.

Mais, contrairement à ces autres massacres, les crimes contre Falloujah n’ont cessé quand les balles n’étaient plus tirées ou les bombes ont cessé de tomber.

La décision des militaires américains de déployer massivement l’uranium appauvri, prouvée par l’étude, « Cancer, Mortalité infantile et Ratio sexuel des naissances à Falloujah », était un acte d’une brutalité aveugle, empoisonnant toute une génération d’enfants non encore nés en 2004.

L’étude de Falloujah est opportune, avec les États-Unis en train de préparer une escalade majeure de la violence en Afghanistan. L’ancien chef des opérations des États-Unis en Afghanistan, le général Stanley McChrystal, a été remplacé le mois dernier après une campagne médiatique, assistée par un élément du magazine Rolling Stone, l’accusant, entre autres choses, d’attacher les mains des soldats américains dans leurs réponses aux insurgés afghans.

McChrystal a été remplacé par le général David Petraeus, ancien chef du US Central Command. Petraeus a révélé les nouvelles règles d’engagement visant à permettre l’utilisation d’une force disproportionnée contre les présumés militants.

Petraeus, à son tour, a été remplacé au US Central Command par le général James « Mad Dog » Mattis, qui a joué un rôle majeur dans la planification de l’agression des États-Unis sur Falloujah en 2004. Mattis se délecte dans les tueries, en disant dans une réunion publique, en 2005 : « C’est amusant de tirer sur des gens …. Vous savez, c’est un enfer de délices. »

Traduit par Oscar Blais

 

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21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 22:18

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Complot reliant JP Morgan-Chase et Goldman Sachs aux vaccins contaminés et à la corruption des grandes pharmaceutiques. (via pleins feux sur l’heure juste)

Une enquête médicale sur les éclosions suspectes et la propagande utilisée pour vendre des médicaments et des vaccins a révélé l’implication des banquiers JP Morgan-Chase (JPMC) et Goldman Sachs (GS) dans le complot pour choquer, stresser, apeurer, empoisonner et tuer des milliards de personnes beaucoup plus profitablement, pharmaceutiquement, selon le rédacteur en chef du journal Medical Veritas.


En recherchant un puissant Partenariat pour la Ville de New York (PFNYC), réunissant les plus riches industriels de Wall Street, les experts en santé publique formés à Harvard, le Dr Leonard Horowitz et le journaliste d’investigation Sherri Kane ont découvert la preuve choquante d’une conspiration pour commettre un génocide mondial en générant des maladies et la mort pour faire avancer une dépopulation rentable pharmaceutique.

Les planificateurs de la population aux plus hauts niveaux du gouvernement et de l’industrie ont comploté pour mettre en circulation des maladies, des vaccins, des médicaments et la mort d’une manière plus rentable, selon une étude publiée dans le dernier numéro de Medical Veritas.

Dans un rapport spécial publié sur YouTube, le Dr Horowitz a exhorté les organisations humanitaires et les groupes d’activistes dans le monde entier à émettre des enquêtes, des alertes, des plaintes de nature civile et des accusations criminelles pour arrêter le complot de la dépopulation pharmaceutique, parce que les risques sont des transmissions génétiques, de nouvelles pandémies et l’extinction possible de la race humaine.

« La corruption dans l’industrie pharmaceutique est omniprésente et transparente », explique le Dr Horowitz. « Les banquiers JP Morgan-Chase (JPMC) et Goldman Sachs (GS), qui ont acquis des participations majoritaires dans les plus importantes pharmaceutiques par des fusions et des acquisitions, ont placé le « dépeuplement » près du sommet de leur liste des priorités géopolitiques. Leurs agents de dépopulation sont maintenant dans les plus hauts postes du gouvernement, des finances et de l’industrie.

Le projet de dépeuplement est soutenu par les personnes les plus riches du monde. Les principaux planificateurs de la population et développeurs économiques avancent des plans identiques pour couper la population mondiale à 1 milliard d’individus.

« Tuer 6 personnes sur 7 dans le monde, de la manière la plus profitable, exige une planification et un complot pour commettre un tel génocide sans précédent par l’application des progrès dans les biotechnologies génétiques exclusivement disponibles et abordables pour les compagnies pharmaceutiques contrôlées par les banquiers », ajoute le Dr Horowitz.

Le médecin fait remarquer le fait que les officiels du Département du Trésor des États-Unis opéraient auparavant JPMC et GS pour le compte des détenteurs majoritaires des actions et de leurs partenaires dans des compagnies pharmaceutiques fortement représentées dans le Partenariat pour la Ville de New-York (PFNYC) et les organisations commerciales qui négocient l’achat de plusieurs milliards de dollars du gouvernement pour les médicaments et les vaccins.

Les chercheurs, y compris l’expert en contamination des vaccins, le Dr Viera Scheibner, déclare dans le numéro actuel de Medical Veritas que les vaccins contre le virus de la polio sont fabriqués dans des cultures de cellules rénales de singe vert africains systématiquement contaminées par des virus transmissibles du cancer.

En révisant les brevets des compagnies pharmaceutiques, le Dr Horowitz a appris que les fabricants des vaccins contre la grippe porcine H1N1 et le rota virus utilisent les mêmes cultures risquant ainsi des recombinaisons, des mutations génétiques et des transmissions imparables d’agents mortels pouvant provoquer de nouvelles pandémies.

« Cela explique pourquoi les officiels de la santé publique se préparent pour le H1N1 transmis par les vaccins clonés dans des cellules des singes pour une recombinaison avec la grippe aviaire H5N1 qui circule actuellement. Cette menace et cette recombinaison mortelle des virus de la grippe devrait se produire dès cet automne », a averti le Dr Horowitz.

Outre les insuffisances des vérifications de sécurité des nouveaux vaccins sans utiliser les contrôles des placebos, c’est cette question concernant la fiabilité de l’information qui concerne plus de la moitié des médecins interrogés depuis qu’ils ont pris conscience que l’ensemble de l’industrie médicale a été détournée par les profiteurs pharmaceutiques de Wall Street. Maintenant, ils apprennent de gens célèbres, telle Gates, que les plus riches habitants de la planète font l’administration des vaccinations pour la dépopulation.
« J’aime les vaccins », a déclaré Gates lors d’une conférence en février 2010, tout en discourant sur les moyens de réduire la population de la planète afin d’endiguer la pollution de l’environnement.

Les liens entre les directeurs des grandes sociétés pharmaceutiques, les géants des médias traditionnels et les banquiers de JPMC et GS sont si évidents et si incriminants, et la dispersion des vaccins dangereux si fréquente et inquiétante, qu’uniquement un dépeuplement rentable comme un résultat prévu des investissements pharmaceutiques peut expliquer la situation actuelle.

« Une censure complète a été la seule option officielle afin d’éviter un effondrement total dans l’opinion publique sur la médecine et l’industrie pharmaceutique », a déclaré Ingri Cassel, un activiste de premier plan pour la sensibilisation aux risques des vaccins. « C’est ce qui explique pourquoi les nouvelles de ce plan de dépopulation par la vaccination ont été négligées par les médias influencés par les intérêts spéciaux. »

En enquêtant les intérêts pharmaceutiques conflictuels qui influencent la couverture des nouvelles, Sherri Kane, un ancien écrivain pour FOX News de Los Angeles, a appris que la majorité des détenteurs d’actions de FOX, de TimeWarner, de News Corp et du Wall Street Journal sont fortement investis dans GlaxoSmithKlein et dans les Laboratoires Merck CSL, les deux fabricants des médicaments et des vaccins à hauts risques.

Lloyd Blankfein, le PDG de Goldman Sachs, est devenu un des principaux actionnaires d’AstraZeneca à la suite de sa directive de l’acquisition du fabricant de FluMist contre le H1N1, MedImmune. Blankfein a également avalé ABC-Disney à la suite de leur fusion avec de l’argent levé par les investisseurs de GS. Cela s’est traduit par une très forte promotion du Dr Oz des vaccins contre le H1N1 sur ABC, l’année dernière, lorsque des officiels ont appris que la grande majorité des Américains ne voulaient pas prendre les risques à la vaccination.

Le Partenariat pour la Ville de New-York s’est engagé à jouer un rôle central dans la reconstruction de Ground Zero à la suite des attaques du 11 septembre, selon Kathryn Wylde, présidente et chef de la direction du partenariat et actuel directeur de la Réserve Fédérale de la Banque de New York. L’organisation a rédigé le rapport économique sur les dommages causés, a avancé des plans financiers pour la reconstruction du World Trade Center et a conseillé des financiers de premier plan en matière d’investissements de reconstruction.

Selon les dirigeants du Mouvement Vérité pour le 9/11, Wylde et autres membres du Partenariat pour la Ville de New-York sont impliqués dans des attaques sournoises contre les preuves scientifiques qui disent que des explosifs thermiques ont été utilisés dans les démolitions contrôlées.
Le Partenariat pour la Ville de New-York est codirigé par Jeffrey B. Kindler, le dirigeant et PDG de Pfizer, la plus grande compagnie pharmaceutique du monde. Kindler dirige Pfizer par le biais d’acquisitions de plusieurs milliards de dollars qui impliquent également le financement de JPMC et de GS.

La Recherche Pharmaceutique et les Manufacturiers d’Amérique (PhRMA), la principale organisation commerciale de l’industrie pharmaceutique, est également dirigée par Kindler. Les officiels de PhRMA s’engagent dans les négociations privées avec la Maison Blanche et les officiels du Pentagone pour déterminer les prix des stocks des médicaments et des vaccins.

Le Dr Horowitz considère cette gérance secrète de contrats pharmaceutiques de plusieurs milliards de dollars comme symptomatique de la corruption de l’industrie. Le jeu de « cache-cache » de l’entreprise se joue avec des fusions et des acquisitions toujours dirigées par les mêmes personnes. Leur création de l’organisation commerciale PhRMA donne l’illusion de leur légitimité et d’une concurrence loyale. La fixation des prix se produit derrière des portes closes, ce qui explique la très grande variation des prix au niveau international.

Un autre bon exemple des prostituées pharmaceutiques du gouvernement corrompu qui sucent la boue de Wall Street est la trahison du membre du Congrès Henry Waxman (D-CA) contre le peuple américain en faufilant le règlement linguistique sur les suppléments alimentaires dans « l’Acte de la Réforme de Wall Street et de la Protection du Consommateur de 2009 », (HR 4173).

Pendant des années, Waxman a tenté de faire adopter une loi limitant l’accès des consommateurs à des suppléments nutritionnels pour le compte des grosses compagnies pharmaceutiques. La Food and Drug Administration (FDA), en grande partie contrôlée par les grosses pharmaceutiques, soutient la règlementation des vitamines, des minéraux, des plantes, de l’homéopathie, des huiles, en plus d’un grand nombre de produits naturels qui protègent les consommateurs.

Au cours des négociations sur la réforme des soins de santé avec PhRMA, Waxman a feint son inquiétude que les fabricants de médicaments tentaient trop fortement de conclure un «marché » sur les prix des produits pharmaceutiques, mais il a tout de même voté en faveur de la liberté du cartel pour fixer leurs propres limites.

Encore plus ironique, le négociateur officiel de PhRMA à qui Waxman s’est plaint, « PhRMA devrait contribuer plus que PhRMA veut contribuer », a dit Billy Tauzin, l’ancien membre du Congrès qui détenait le poste de Waxman comme président de la Commission de l’Énergie et du Commerce.
http://www.tetrahedron.org/

Traduit par Oscar Blais
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     "La lutte politique qui aboutit à la victoire d'un candidat, avec, par exemple 51% de l'ensemble des voix des électeurs, conduit à un système dictatorial, mais sous un déguisement démocratique. En effet, 49% des électeurs sont gouvernés par un système qu'ils n'ont pas choisi, et qui, au contraire, leur a été imposé. Et cela c'est la dictature. Cette lutte politique peut aussi aboutir à la victoire d'un appareil ne représentant que la minorité, notamment lorsque les voix des électeurs se répartissent sur un ensemble de candidats dont l'un obtient plus de voix que chacun des autres considéré à part. Mais si l'on additionnait les voix obtenues par les « battus », cela donnerait une large majorité. Malgré cela, c'est celui qui a le moins de voix qui est proclamé vainqueur, et son succès est considéré comme égal et démocratique ! Mais en réalité il s'instaure une dictature sous des apparences démocratiques. Voilà la vérité sur les régimes politiques qui dominent le monde actuel. Leur falsification de la vraie démocratie apparaît clairement: ce sont des régimes dictatoriaux."   Mouammar KADHAFI

. "La démocratie directe, quand elle est mise en pratique, est indiscutablement et incontestablement la méthode idéale de gouvernement. Comme une nation, quelle que soit sa population, ne peut être rassemblée pour discuter, étudier et décider de sa politique, les sociétés sont détournées de la démocratie directe, qui est demeurée une idée utopique éloignée de la réalité. Elle a été remplacée par de nombreuses théories de gouvernement, telles que les assemblées parlementaires, les coalitions de partis, les référendums. Toutes ont conduit à isoler le peuple de l'activité politique, à usurper sa souveraineté, et à confisquer son pouvoir au profit d' « appareils de gouvernement » successifs et en conflit, qu'ils soient individu, classe, secte, tribu, Parlement ou parti."  Mouammar KADHAFI

. "La propriété pourrait bien changer de mains, le résultat serait le même: le travailleur demeure un salarié tant qu'il n'a pas été rétabli dans son droit sur sa propre production, et que celle-ci continue à être détournée au profit de la "collectivité" ou de l'employeur.La solution finale à ce problème consiste à abolir le salariat, par la libération de l'homme de l'asservissement dans lequel celui-ci le maintient." (Mouammar KADHAFI)

. "LE LOGEMENT est une nécessité pour l'homme et sa famille. Il ne doit appartenir à personne d'autre qu'à lui. Un homme n'est pas libre quand il habite une maison louée. En matière de logement, la politique suivie par les Etats a consisté à réglementer la location en bloquant ou en augmentant les loyers. La seule solution radicale et définitive est l'accession à la propriété. Dans la société socialiste, nul ne peut être maître des besoins de l'homme. Personne ne peut dans cette société, bâtir un logement autre que pour lui-même et ses héritiers. La maison de l'individu étant un de ses besoins fondamentaux, nul ne peut construire dans le but de louer."  Mouammar KADHAFI

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